Vromb tente avec « Épisodes » de plonger l'auditeur dans l'environnement des lieux d'opération des divers travaux effectués vers mille neuf-cent cinquante huit par Haurel Gaudot et l'équipe dont il fît partie. Commandités alors par un firme pharmaceutique (dont nous taisons le nom pour diverses raisons), l'expérience devait de façon artificielle provoquer chez un sujet humain choisi la perception de l'aura. Le visionnement et l'analyse du passeport humain - son métabolisme physique et psychique - tel que décrit dans certaines croyances boudhistes et d'autres religions occultes. Axées plutôt sur l'avancement scientifique que l'inexpliqué, les bases de recherche furent développées autour du fonctionnement éléctrique du cerveau humain. En se basant sur divers travaux effectués par une première équipe de recherche, Gaudot et son équipe envisagèrent la possibilité qu'un organe presqu'imperceptible soit localisé à l'intérieur du cerveau humain. Comme le professeur Gaudot est l'un des instigateurs des recherches, il lui faudra expérimenter les effets de l'amplification de cette glande par divers procédés pour découvrir que l'expérience auratrive n'a pas donné les résultats espérés... La stimulation d'une zone cérébrale précise par impulsions éléctriques produit par un appareil nommé «amplificateur d'ondes ultratoniques» leur donna des visions, l'impression d'être entourés par des êtres de forme humanoïde invisibles à l'oeil normal. Ce cauchemard se poursuivi sur plusieurs semaines. Au début pour Haurel Gaudot et Albert Dorsko, l'illusion provoquée chez l'un comme chez l'autre démontre une coïncidence des faits. Leurs descriptions générales des images alors perçues furent semblables sur plusieurs points mais par la suite, leurs versions des faits s'éloignèrent et perdirent de leur similitude. Les perceptions paramoléculaires qui résultèrent de ces expériences leur inspira l'analyse psychométrique et les entraina davantage vers un débranchement cérébral de toute logique rationnelle. Le fait d'une double vue comme retombée non envisagée provoqua chez eux des épisodes psychotiques à caractère hallucinogène. Ces états opérèrent seulement durant les sessions ultratoniques. Puis au fil des jours, sans raison aucune, les sens paramoléculaires s'autodéclanchèrent à période aléatoire ayant comme resultats quelques délires paranoïdes. L'album Épisodes présente en mode éléctrosonique quatre étapes paramoléculaire réalisées en blocs musicaux constituan chacun un épisode bien défini..

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